Sunday 16 August 2015


Texte de la rencontre-lecture animée par Michèle Ducheny le 6 août 2015 au Théâtre Jean le Bleu, à Manosque, en France. Je n’inclus ici que sa discussion sur ma tante, le peintre Gracieuse Christof.

Thursday 25 June 2015


Michèle Ducheny va faire une rencontre-lecture autour de ma tante Gracieuse Christof et d'un autre peintre, qui lui n'est pas arménien, Pierre Parsus. Si Michèle a été amenée à les rapprocher, c'est simplement parce qu'ils ont tous les deux écrit un assez long texte sur leurs rencontres avec Jean Giono, rencontres vraiment très marquantes pour l'un comme pour l'autre.
 La séance aura lieu dans le cadre des Rencontres Giono qui ont lieu en France, à Manosque, du 5 au 10 août :
 - au Théâtre Jean le Bleu
- le jeudi 6 août à 16h30
- sous le titre : "Regards croisés. Pierre Parsus et Gracieuse Christof regardent Giono qui regarde leurs toiles".
 Pour des renseignements supplémentaires, veuillez consulter le lien suivant :

Sunday 29 March 2015


The Montreal-based Armenian weekly Horizon has published a book review of A Requiem, Armenian Style. Here's the link:
http://www.horizonweekly.ca/
Scroll down the left column until you reach a PDF file dated March 26. The review is in Armenian, and was written by Nazan Koulakian.

La revue arménienne Horizon a affiché cette semaine un article sur Un requiem arménien. Vous le trouverez à l'adresse suivante:
Trouvez la colonne de gauche et descendez jusqu'au premier dossier PDF, en date du 26 mars. L’article a été rédigé en arménien par Nazan Koulakian.

Saturday 15 November 2014


Un requiem arménien est en vente sur Amazon.com, Amazon.eu ainsi que sur le site Createspace, la compagnie américaine avec laquelle j’ai travaillé sur la production du livre. À Winnipeg, il est en vente dans la boutique du Musée canadien pour les droits de la personne ainsi qu'à la librairie À la Page.

Monday 8 September 2014


Un requiem arménien sera disponible dès le 1er décembre 2014.

Résumé

Chouchanig Chahbaghlian est une jeune réfugiée arménienne de Marseille, de religion orthodoxe, qui se convertit à la doctrine de l’Armée du Salut. Elle rencontre Albert Hodder, un salutiste de la troisième génération dont les racines sont fermement plantées en Angleterre mais qui aspire à servir Dieu au Congo belge. Les deux jeunes gens se marient et fondent une famille tout en poursuivant leur vocation religieuse en France, en Angleterre et au Canada, d'abord en tant qu’officiers de l'Armée du Salut, puis comme pasteurs de plusieurs églises évangéliques à Montréal et dans sa banlieue.
Leur fille Ruth se détache de toute religion et fait sa vie à Winnipeg, dans les prairies canadiennes ; c’est là que ses parents viennent la rejoindre après que Chouchanig eut été atteinte par la maladie d’Alzheimer. Alors que le monde de Ruth heurte de plein fouet celui de son père, elle part en quête d’elle-même à travers les souvenirs de sa famille, qu’elle couche sur papier. Ce faisant, elle découvre de nombreuses lettres et d’autres documents rédigés par ses ancêtres et parvient ainsi à reconstituer l'histoire familiale tout en revendiquant son héritage arménien, à la fois si riche et si chargé de chagrin.
Le lecteur retrouvera à l’intérieur du microcosme très particulier de cette famille les thèmes universels de la foi et de l'incrédulité, de la perte et de l'espoir, du conflit entre l'identité et la mémoire culturelle. Il sera question aussi de la complexité, pour nos familles et la société d’aujourd’hui, de soigner les personnes qui souffrent d’un handicap.

Biographies
Les essais de Ruth Hodder ont été publiés aux États-Unis dans les revues académiques American Journal of Alzheimer’s Disease and Other Dementias ; Illness, Crisis & Loss ; et Journal of Loss & Trauma ; ainsi que dans les journaux canadiens Globe and Mail et Winnipeg Free Press. Un requiem arménien est la traduction de son tout premier livre, qui a paru en 2012 sous le titre A Requiem, Armenian Style.

Après avoir mené à bien des études supérieures de lettres modernes (langues et littératures), et diplômé de l'École nationale des langues orientales (russe) à Paris, Jacques Traimond est retraité du secteur commercial ! Il est heureux d'avoir pu, par hasard et par amitié, renouer avec des disciplines qu'il n'avait jamais réellement abandonnées.

Licenciée en philologie romane de l’Université libre de Bruxelles, longtemps professeur de français, à présent lectrice et correctrice, notamment pour les éditions Lansman et la Revue Giono, Michèle Ducheny a mis en ligne un site consacré à « Giono et les peintres ».

Préface

La version originale de ce livre a paru en octobre 2012 sous le titre A Requiem, Armenian Style. J’en envoyai immédiatement quelques exemplaires à toute ma famille en France car, même s’ils ne connaissent pas l’anglais, il me semblait normal qu’ils en aient tous une copie, puisque l’histoire de nos ancêtres y est racontée. Et puis, ça faisait tellement d’années que je leur disais que j’étais en train de l’écrire, ce livre, il fallait bien que je leur prouve qu’il était terminé… Quelques mois plus tard, je parlais au téléphone avec le cousin de ma mère, Gilbert Varonian, lorsqu’il me dit en passant qu’un de ses copains à Marseille était en train de le lui traduire.
- Comment ça… Pourquoi ?
- Ben, pour que je puisse le lire.
- Il traduit tout ?
- Je crois, oui.
- Mot à mot, ou il fait juste un résumé ?
- Je ne sais pas… Je te donne son numéro, d’accord ? Tu pourras lui demander toi-même.
C’est ainsi que je pris contact avec Jacques Traimond et que nous décidâmes de travailler ensemble à l’élaboration de la version française du livre. Jacques étant de ce qu’on appelle « la vieille école », il rédigea toute sa traduction à la main, se servant de la poste pour m’envoyer le résultat de son travail, d’habitude par tranches de cent pages. Chapitre par chapitre, je tapais le manuscrit à l’ordinateur, j’apportais les révisions qui s’imposaient et, une fois satisfaite du résultat, j’envoyais le fichier par courrier électronique à Michèle Ducheny, en Belgique – cette dernière m’ayant offert, lorsqu’elle entendit parler de ce projet, de s’occuper entièrement de la vérification de l’orthographe, de la grammaire et du style.
Quelle belle expérience que ce travail d’équipe ! Jacques, Michèle et moi sommes tous d’accord sur ce point et, s’ils m’ont dit avoir trouvé ce travail agréable et intéressant à plusieurs points de vue, je suis, quant à moi, ravie du résultat final. À vrai dire, je crois sincèrement que le texte français est de meilleure qualité que le texte original : non seulement il est mieux écrit, mais le fait d’avoir eu à le retravailler m’a permis de corriger plusieurs erreurs de contenu. J’ai donc une énorme dette de gratitude envers Jacques et Michèle. Mais ils ne sont pas les seuls : le lecteur pourra retrouver directement dans mon récit les contributions tout aussi importantes, et si uniques, de Joseph S., d’Arpi Hamalian, et de Günter Krause. Sans leur aide, mon livre n’aurait jamais vu le jour, ni en anglais ni en français.
J’aimerais profiter de cette occasion pour remercier Claude et Michel Takvorian, qui m’ont donné l’autorisation de citer tous les passages où leur père, Takvor Takvorian, parle de mes grands-parents dans son roman Arménouch ; mon cousin Patrick Walter, qui m’a permis de reproduire le texte de Gracieuse Christof (voir Appendice II) dans son intégralité, ainsi que de me servir du tableau de sa mère pour illustrer la couverture de mon livre ; et Rita Soulahian Kuyumjian, Beatrice Mosionier et Verjine Svazlian, qui m’ont autorisée à citer des extraits de leurs ouvrages.
Plusieurs membres de ma famille ont généreusement partagé avec moi le résultat de leurs propres connaissances et de leurs recherches familiales. Du côté de mon père, je voudrais mentionner en particulier mes oncles Dick, Ken et Bob Hodder, ainsi que Nancy, la femme de Bob ; le fils de Ken, mon cousin Ken junior ; Geoff Griggs, sa femme Angie et leur fils Neil ; Mick Griggs ; Marion S. Walker ; Gaynor Mulvey ; et Martin Samuels. Du côté de ma mère, un grand merci à mon oncle André Chahbalian et sa femme, Marie-Jeanne ; mes cousins Jean-Pierre et Philippe Chahbalian et la femme de ce dernier, Corinne ; Gilbert Varonian ; sa sœur, Madeleine Roche ; Nariné G. ; et Hrachik Ashughyan.
Je souligne directement dans mon livre le concours de Guillaume Arabadjian, de Nadia Minassian Hamian et de Stephen Watson. Bien d’autres personnes cependant ont contribué à mon projet, et de plusieurs manières. Je voudrais citer en particulier Louise et Paul Adams, John Bentley Mays, Donovan Bergman, David Carr, Helmut et Lydia Doerksen, Dora Dueck, Vera Fast, Paul Fortier, Cathy Hodder, Kiki Klassen, Anahid Melikian, Robert Neimeyer, Steven Rosenberg, Susan Roos, George Shirinian, Jean Tépélian et Anne-Marie Viret Grasset.

Thursday 24 April 2014


Vous trouverez ci-dessous le lien électronique pour la cinquième édition du livre de  Michèle Ducheny, intitulé Giono et les peintres. Le chapitre sur ma tante Gracieuse Christof (née Chenorhig Chahbalian), débute à la page 149.

Comme madame Ducheny le mentionne dans l’introduction à ce chapitre, une traduction de A Requiem, Armenian Style (Un requiem arménien en français) est en cours. Nous espérons pouvoir publier la version française de mon livre en septembre ou octobre 2014.

http://users.skynet.be/giono.peintres/Images/Giono2.pdf

Thursday 28 February 2013


Nearly forty-three years after the death of French author Jean Giono, Michèle Ducheny, a retired professor of French, has published the fourth online edition of a book on Giono’s relationship with various painters. Among them is my aunt, Gracieuse Christof, whose painting of my grandparents Valentine (née Targoulian) and Arménag Chahbaghlian (Shahbaghlian) graces the cover of A Requiem, Armenian Style. Ducheny’s discussion of Gracieuse is found on pages 155-156 of Giono et les peintres at:


Note that A Requiem is now part of the Fonds Giono (a vast collection of the works of and about the famed author; his correspondance before 1949 and after 1963; pictures; etc.) in Manosque, France.